Et pourquoi pas ?! Je suis intimement convaincue que l’on peut faire avancer les choses dans le bon sens par le biais de la couture zéro déchet fait main à Antibes, en France et ailleurs.
Pourquoi la couture zéro déchet fait main à Antibes et ailleurs ?
Avant d’arrêter mon travail dans les assurances, j’ai participé à des ateliers couture zéro déchet à Antibes. Cela faisait des années que je voulais apprendre la couture zéro déchet fait main à Antibes. Vous savez ce petit truc qui vous titille et qui vous dit « aller, apprends à coudre. Tu pourrais faire tellement de choses. »
Il a été proposé par Univalom (le centre de déchets d’Antibes-Sophia Antipolis) ; il a un pôle zéro déchet et régulièrement des masterclass de 5 ateliers couture et permaculture sont proposées ainsi que des ateliers dans différents domaines comme la cuisine, le crochet… et je me suis dit, c’est le moment. J’ai foncé et j’ai participé à 5 ateliers couture zéro déchet fait main à Antibes « débutants » puis « experts ». Qui dit expert, dit en mode avancé !
Une super couturière a animé ces ateliers couture zéro déchet fait main à Antibes et m’a donné le goût de la couture zéro déchet, du fait main, du réutilisable. Elle m’a appris à utiliser une machine à coudre, à confectionner des accessoires zéro déchet, à réparer certains trous, etc.
J’ai beaucoup aimé et c’est là que je me suis posée la question d’en faire mon métier, un métier à impact, à message.
Je peux faire un métier qui a du sens, qui apprend à utiliser des tissus abîmés pour en faire des accessoires. Cela évite ainsi de jeter des vêtements, des tissus alors qu’ils peuvent être « upcyclés ».
Faire quelque chose de ses mains est pour moi très vivifiant, très plaisant. Utiliser mes doigts pour transformer et ainsi éviter des déchets est plus que satisfaisant.
C’est beaucoup plus motivant tout d’un coup et de pouvoir transmettre cette façon de faire, lors d’ateliers couture zéro déchet fait main à Antibes, encore plus !
Pourquoi le zéro déchet ?
Il y a tellement de déchets qui peuvent être évités. Des cotons démaquillants utilisés une fois et jetées ; des papiers pour acheter le pain jetés après la 1ère utilisation, etc… En moyenne une femme va utiliser 6 cotons démaquillants par jour, soit 135 millions de cotons jetés par jour pour 22 millions de françaises (moonizip.com de 2025).
Vous rendez-vous compte de ce que cela représente ?
Je suis hallucinée par ces quantités de déchets sachant qu’on peut les éviter assez facilement.
Utiliser des cotons lavables pour se nettoyer le visage et mettre en machine une fois par semaine avec le reste du linge, c’est assez simple. Aller en boulangerie avec un sac en tissu, pour du pain, des viennoiseries, ce n’est pas compliqué. Il peut arriver que les vendeurs disent : « vous êtes sûrs, je vous mets le pain au chocolat dans votre sac ? » Ce n’est pas une blague, je l’ai eu plusieurs fois. Et à nous de répondre : « oui, oui, c’est un sac en tissu qui se lave et qui évite un déchet ».
Est-ce possible de l’appliquer dans tous les domaines de notre vie ?
Oui, j’en suis persuadée. Dès que je vois un objet utilisé une fois, je me pose la question : « est-ce que je peux faire autrement ? ». Je vous donne un exemple : les légumes ou autres que l’on met dans des sacs de congélation pour le congélateur. A la sortie, le sac de congélation est souvent jeté dès la première utilisation. En couture, on peut faire un sac de congélation en tissu. Évidemment c’est un tissu pour l’alimentaire.
Et comme dit plus haut, on peut appliquer la couture zéro déchet fait main à Antibes, en France et ailleurs dans tous les domaines de notre vie et pas qu’en cuisine, dans la salle de bain, dans le reste de la maison, dans les loisirs, les voyages…
C’est vrai ? Oui, oui, vous pourrez découvrir au fur et à mesure mes produits sur mon site https://lafabrikdisa.com/ et vous verrez !!!